La place financière helvétique a longtemps souffert d’une mauvaise réputation en raison d’une
certaine opacité maintenue par le mythe du secret bancaire.
Des entrepreneurs et chercheurs suisses lancent une initiative populaire pour la souveraineté numérique suisse et demandent la création d’un Swiss Cloud, confié à des acteurs suisses.
La Suisse renonce à la notion de souveraineté numérique et cède aux entreprises américaines et chinoises. L'heure est grave. Ne faudrait-il pas un article constitutionnel qui nous protège d'une main-mise étrangère sur nos données ? Analyse d'une débandade.
Selon une publication du magazine américain Forbes, la Suisse est le pays le plus sûr actuellement en ce qui concerne le Covid-19. L'étude a porté sur plus de 130 critères qualitatifs et quantitatifs.
Il autorise la livraison de 40'000 noms français d'UBS à Paris. Notre commentaire : Sur le forme, UBS reçoit la pénitence pour les péchés que la banque a commis.
Les autorités suisses, judiciaires et administratives cherchent à tout prix à accorder l’entraide aux Etats étrangers la demandant, même si pour cela il faut renoncer à nos libertés et aux principes juridiques fondamentaux